Le 27 décembre 2016, par Gerard,
L’Opération Loyton
Conçue à son origine pour être la plate-forme centrale du renseignement, de la reconnaissance et préparation terrain de la reconquête du territoire Nord-Est de la France et consécutivement de la conquête du territoire allemand par son Sud-Ouest. Imaginée dès mai 1944, patiemment élaborée par le SHAEF, finalisée en juillet et confiée aux forces spéciales britanniques du 2ème SAS, lancée par le parachutage d’une avant-garde de 15 hommes le 13 août à Le Mont (Vosges)
Son histoire est longtemps restée "étouffée" pour de multiples raisons. Des récits approximatifs en ont été tentés et publiés, tous incomplets et la plupart affabulés
Points de repères généraux. Cliquer
L’homme qui voulait savoir
Résistance et déportations dans la vallée du Rabodeau : les détournements, mensonges et meurtrissures. Film documentaire de Robin Hunzinger * :
Bande annonce. Cliquer
Article dédié. Cliquer
Court "dossier de presse" dans dernier document PDF de bas de page
Avant-première à Senones, espace le Dépôt, mercredi 5 décembre 2018 à 19 heures
Diffusion sur France 3 Grand Est lundi 17 décembre 2018 après Soir 3
* Qui est Robin Hunzinger. Cliquer
Pilote de la Liberté
L’autre livre écrit par Oscar Gérard. Pour qu’on n’oublie pas René Darbois, cet autre "Malgré-Nous" homme libre qui était son ami. Qui était René Darbois, au travers de l’article de Georges-Didier Rohrbacher,. Publié en 2011, site L’aérobibliothèque. Cliquer
Nouvelle édition du livre, une mise en valeur percutante réalisée par les Editions de l’Avière. Cliquer :
Ce qu’en dit le site L’aérobibliothèque. Cliquer
Ce qu’en publie le quotidien Le Républicain Lorrain. Cliquer
Vidéo de présentation publiée par l’éditeur. Cliquer
Court "dossier de presse". Cliquer
De Vombois à Berchtesgaden. Oscar Gérard et son livre
"Pas ce que j’ai lu, ou qu’on m’a dit... Ce que j’ai vécu" ! (Oscar Gérard)
Préface de Frédérique Neau-Dufour, directrice du Centre européen du résistant déporté (CERD Struthof)
Sa présentation. Cliquer
Viombois, 4 septembre 1944. Ecritures, mythe et Histoire
La vérité sur la bataille de Viombois. Livre de Jean-Michel Adenot, éditions Edhisto
Sa présentation et premiers détails sur site Webnode. Cliquer
Sa présentation sur le site de HSCO [1]. Cliquer
Page de ce site dédiée. Cliquer
The SAS and LRDG. Roll of Honour. 1941-1947
L’histoire de ce corps très particulier des Forces Spéciales britanniques pendant la 2ème guerre mondiale : le SAS et ses satellites [2]
Sa présentation sur site dédié. Cliquer
Sa page Facebook Cliquer
Livre Mémorial des victimes de Viombois
Il pose le contexte de cette "bataille du hasard" du 4 septembre 44, page noire du GMA Vosges. Et présente le portrait de chacun des 57 morts dans celle ci : ces hommes ont maintenant un visage et une histoire, qui forcent le respect
Utile et précis complément au livre de Jean-Michel Adenot présenté ci avant, il résulte d’un travail colossal de recherches réalisé par Liliane Jérome. Rédigé avec l’appui de René Chevrolet et Frédérique Neau-Dufour du CERD Struthof, préfacé par Frédérique Neau-Dufour sa directrice agrégée d’Histoire. Cliquer [3]
Document original dans fichier PDF de bas de page
1940-44. De la Bruche au Rabodeau. La filière des Passeurs
Plus de 15 000 évadés du territoire du Reich ont été "passés" vers et à travers le massif du Donon
Passés par les résistants des Vosges alsaciennes pour la plupart, par ceux des Vosges mosellanes pour certains. Attendus, recueillis, hébergés, dotés de faux papiers, exfiltrés ou camouflés sur place, par les résistants des Vosges vosgiennes
Haslach Vaihingen, livre de Jean-François Faye et Sylvie Vissa
Le parcours de Maurice Vissa, jeune Vosgien de 17 ans, résistant mort au camp de Vaihingen. Face à face avec la réalité, les réalités, de la Résistance et de la Déportation. L’occasion d’un "zoom" sur 2 kommandos du Struthof Natzweiler. Un exceptionnel document récent, abouti et terriblement précis. Sa présentation en résumé :
Sur le site des auteurs. Cliquer
Sur le site du CERD Struthof. Cliquer
Sur Facebook. Cliquer
Histoire et mémoire de la rafle de Pexonne. Du Struthof à Mauthausen
Village de Pexonne 27 août 1944 : une rafle typique de celles menées par le Sipo/SD dans les vallées Ouest du massif du Donon en cette fin d’été-début automne de 1944, menée ici par le Einsatz Kommando du capitaine Eric Wenger. Un écrasement radical de la Résistance en marche. Un village brisé par un effroyable bilan : 112 otages pris, seuls 17 en sont revenus
Son histoire "réveillée" par Guillaume Maisse. Remarquablement documentée, précisée, et racontée :
Un court résumé, dans bulletin municipal de Pexonne. Cliquer
Présentation sur site HSCO. Cliquer
Le site de Guillaume Maisse Pexonne 27 août 1944. Cliquer
Toute l’histoire. Dans ce livre remarquable "Pexonne 27 août 1944, la rafle oubliée", de Guillaume Maisse. Cliquer
Provenchères : Charles, Jean et Primo Lévi
Charles Conreau et Jean Samuel : l’instituteur de Provenchères, le pharmacien de Wasselonne. Mis dans la tourmente du système nazi, rescapés des camps. L’ombre de Primo Lévi
La Gendarmerie sous l’Occupation
Conférence du général Pierre Charles Sérignan autour du livre du colonel Cazals. Cliquer
Autres "Oubliés de l’Histoire", les Tsiganes
Et aussi, bien qu’il ne soit dans son expression ici pas un livre, ce face à face avec une réalité de 1940-44, la délation (toujours réalité d’aujourd’hui) : "Un bon Français. Lettres de dénonciation ". Présenté dans le cadre "Patrimoine et citoyenneté" des Journées européennes du patrimoine 2016. Un "rendez-vous avec sa conscience", le 17 septembre 2016 au Centre européen du résistant déporté (CERD Struthof)
Reportage CERD. Cliquer
Extraits audio de France Bleu Alsace. Cliquer
En savoir plus sur le propos :
CAIRN Info, Presses de Sciences Po, Laurent Joly : 1/ Aspects généraux, dans document PDF de bas de page La délation sous l’Occupation, 2/ Aspects de la délation antisémite plus précisément : La délation antisémite sous l’Occupation. Cliquer
CNRS Images : Dénoncer sous l’Occupation, film documentaire de Laurent Joly et David Korn Brzoza. Cliquer
...
Nota : page en cours de construction
[1] HSCO (Histoire scientifique et critique de l’Occupation). Le "nettoyage" de l’Histoire. Cliquer
[2] Un ouvrage précis et documenté comme jamais, mais de conception inhabituelle. Il est en effet une suite de portraits des hommes qui ont perdu leur vie en accomplissant leur mission (374). Chaque portrait nous renseigne à la fois sur l’homme et les opérations auxquelles il a participé : une autre façon d’apprendre l’histoire, au travers de la vie de ceux qui l’ont faite. Une façon de leur rendre hommage, le moyen de comprendre que le SAS n’est pas un corps légendaire sans raison, une occasion au passage de faire table rase des imprécisions, détournements et falsifications "commercialisés" jusqu’ici. Servi dans une présentation particulièrement soignée. 800 pages, 374 biographies. Publié pour des raisons de sécurité sous un nom d’emprunt, soutenu par la SAS Regimental Association. Un aperçu au travers de cet article de The Telegraph. Cliquer
A noter que la totalité des bénéfices de sa vente seront utilisés, pour une part à rembourser les emprunts engagés pour la réalisation technique, pour une part à édifier les stèles ou monuments non édifiés jusqu’ici faute de moyens, tout le reste sera versé à des oeuvres de soutien aux vétérans
[3] Il est utile de savoir qu’une copie falsifiée de ce document (amputé du nom de son auteure (Liliane Jérome), amputé de sa préface (écrite par Frédérique Neau-Dufour, alors directrice du CERD Stuthof)... amputé des signes d’appartenance de son producteur (le Ministère des Armées), fut jusqu’à voici peu de temps publiée sur le site Internet de l’actuelle association représentant le GMA Vosges. Soyons donc vigilants quant aux sources de documents, et autres appropriations sauvages de données... Voyez vous-mêmes des restes de l’effacement des traces de la forfaiture récemment opéré par les auteurs du site au moyen d’une série de subterfuges : masquage du texte de page, astuce d’un ajout de renvoi (le texte italique bleu clair, placé en en-tête), mise en avant du "don aux archives... " de l’auteure (qui n’était en aucune façon un "permis de publier" !)... Cliquer