Retour sur cet article, originellement publié le 14 février 2007
Celle de Guy Dolmaire. Racontée par son compagnon et frère Marcel Dolmaire, alias Marcel Dejean. Voir document PDF de bas de page
Les raisons qui m’ont poussé à évoquer ici ce témoignage, vu et publié sur Internet :
– Mes discussions avec Marius Schmit et ma mémoire de Paul Maltempi. Tous deux compagnons de misère de Guy et de Marcel Dolmaire
– Le visage d’épouvante de Michel Fresse à l’évocation de sa propre marche de la mort. Une autre, dans un autre coin d’Allemagne, parmi des milliers d’autres [1]
– L’exemplarité, sa retenue aussi, de ce témoignage qui aide à comprendre ce que furent ces ultimes marches déboussolées. Ces derniers soubresauts de l’organisation et de la déshumanisation nazies [2]
Je remercie sa famille de me pardonner mon audace [3]