Résistance et Déportation dans la vallée du Rabodeau
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Le maquis que l’Histoire avait oublié

Les derniers jours du maquis de la haute vallée du Rabodeau
Article mis en ligne le 2 janvier 2008
dernière modification le 2 avril 2017

par Gerard

Journal d’un Traqué

Le récit de Denis Fondeur, garde général des Eaux et Forêts, chef du bataillon du haut de la vallée du Rabodeau du 1er RCV FFI

Dans la tourmente de la chasse à l’homme du SD

Entre le marteau de l’offensive alliée pour traverser les Vosges et l’enclume de la résistance des troupes allemandes appuyées sur les contreforts du massif du Donon


Les réalités de l’écrasement du maquis de la vallée du Rabodeau pris dans la nasse. La toile de fond et le vécu d’un acteur

Un homme contraint de vivre "à l’instinct" comme un animal des bois, traqué pendant 2 mois

Un "journal de marche" précis, poignant tant il est simplement humain [1]


Nous sommes loin ici de l’histoire convenue, de l’histoire colportée. Loin des brillances. Loin aussi des révisions qui ont donné de l’importance à tant d’insuffisants, de tartarins ou de visqueux personnages, des révisions qui en ont "effacé" d’autres

Une cuisante leçon sur l’engagement et le courage tranquille, une leçon d’humilité donnée par un homme droit : "... Et si vous pensez que leur rôle (celui des hommes du maquis du Rabodeau, NLDR) n’a pas été très considérable, ne le leur dites pas. D’abord, parce que vous n’en savez rien. Et puis, parce que la Patrie ne demande pas de réussir toujours mais au moins d’essayer... et combien n’ont même pas essayé ! "